L occasion quand meme de revoir de superbes paysages, et aussi des kea, les perroquets des montagnes de NZ. On aime bien les Kea parce quíls sont beaux, mais aussi, parce qu ils sont vraiment chiants, et essaient de bouffer tout ce qu ils peuvent choper avec leur bec.
vendredi 17 décembre 2010
Wet feet in NZ
L occasion quand meme de revoir de superbes paysages, et aussi des kea, les perroquets des montagnes de NZ. On aime bien les Kea parce quíls sont beaux, mais aussi, parce qu ils sont vraiment chiants, et essaient de bouffer tout ce qu ils peuvent choper avec leur bec.
jeudi 9 décembre 2010
Aka Nuggets Kaka... NZ nous revoila

La Nouvelle Zelande est une destination et un pays intense. C'est la deuxieme fois que nous venons, et si on pouvait, on y resterait bien...(sorry les parents)
En 3 jours, on a vu un paquet de cascades, des superbes endroits, on a dormi aupres d'un lac, on a rencontre des gens sympas, et qui parlent anglais, beaucoup de choses donc.
Mais en 3 jours on a aussi:
-Recu une prune ("a ticket" comme ils disent) pour exces de vitesse - 58km au lieu de 50 en ville
- Failli avoir un accident avec un enorme camion et son bateau en remorque.
- Failli tomber en panne d'essence au milieu de nul part.
Intense la Nouvelle Zelande.

Cette fois ci, on est arrives a Christchurch, et on a fait la route en suivant la cote Ouest depuis Christchurch jusqu'a Te Anau (Fiordlands) d'ou nous allons commencer la Milford track, une marche de 4 jours si populaire qu'il faut la reserver 6 mois a l'avance.
La mauvaise nouvelle, c'est que la NZ c'est tellement cher que cette fois ci, on n'a pas de van mais une voiture break de location dans laquelle on dort ...on mange et eventuellement ou on conduit. Avant de partir, on avait reserve la break la moins cher qu'on avait trouve, a savoir, une vieille Nissan toute pourrie.
La super bonne nouvelle, c'est qu'on a beneficie d'une upgrade, et du coup, on se retrouve dans un 4x4 ford rouge flamboyant, et flambant neuf (ceci avant l'accident manque qui nous a envoye dans les bas cote plein de boue d'un chemin de foret).
Marrant d'avoir une si belle voiture mais de vivre comme des clodos dedans.
Demain on part pour les hauteurs du Milford, on vous tient au jus, des qu'on revient. Sait on jamais, on pourrait ptetre se faire manger par des sand flies sur le chemin?
LAN - une compagnie aerienne qui marche a la carotte
Fini le boeuf, finis les bonnets a couleurs, les gens super sympas, finie la tourista.
On nous avait prevenus contre Santiago, mais en fait, on a vraiment bien aime cette ville. Pas tres jolie effectivement, mais on s'y sent bien, elle a quelques quartiers tres sympas, une histoire qui interpelle, et un tres bon musee notamment d'art pre-colombien.
Et du coup, on quitte vraiment l'Amerique a regrets... et pas si facilement grace a ces gros benets d'LAN
Arrives a l'aeroport un peu plus tot, afin de pouvoir profiter du duty free, et calmer les inquietudes de Stephane qui, s'il n'arrive pas 3 heures avant le decollage, s'agite tres nerveusement.
Stephane en a eu pour son argent, il etait aussi calme que sous l'effet d'un valium, et pour cause! Nous sommes restes 8h30 respectivement dans l'aeroport et l'avion avant de nous faire gentillement renvoyer chez nous. Probleme technique nous disaient-ils avant de cracher le morceau:il manquait a l'avion une piece.
Sophie en mode panique complete (on vole pas dans des avions sans pieces, non?).
Gros etalage du manque complet d'organisation des donkeys de Lan qui etaient finalement peut etre eux aussi paniques par cet avion sans pieces?
Tout le monde y va de son interpretation, et les paris fusent sur la probabilite de partir avant le lendemain. Les pacifiques, temeraires, les aguerris et ceux qui puent d'etre restes sans se laver depuis trop longtemps, tous se retrouvent sous le meme etendard: il faut attendre. Wait and see. Espera y ve.
Entre temps, LAN nous offre genereusement un sandwich au cafe de l'aeroport. Staff du cafe completement overbooke de demandes pour leur jambon fromage degueulasse et qui depasse de leur toasteur.
Sophie panique toujours et en plus de ca, elle veut maintenant vomir le jambon fromage.

LAN nous informe qu'ils vont nous offrir la nuit d'hotel et le transfert. La seule chose a faire maintenant, c'est faire comme si on etait arrives a destination. Il faut repasser par l'immigration, reprendre nos sacs et s'en aller.
Pas de chance pour les gros flemards qui ont voulu filer a l'immigration en premier en utilisant l'ascenseur: panne d'ascenseur. 50 gros benets presses bloques entre 2 etages au su et vu de tous grace a cette invention fabuleuse qu'est l'ascenseur en verre.
Bref, apres au moins 1h de queue a l'immigration, + 1h de queue aux bagages, + 1h a attendre le voucher pour l'hotel et le taxi, nous arrivons a notre hotel a 8h du mat. Nous etions arrives a 20h a l'aeroport la veille.
(Bel effort cependant, l'Intercontinental 4 etoiles - on leur a pique des savons du coup)
3 heures de sommeil, un bain pour stephane, et nous sommes repartis a 12h pour l'aeroport.
Nous repartirons 5h apres, avec le meme avion qui avait soit disant retrouve sa piece (Sophie tres suspicieuse comme en atteste la main de Stephane sur laquelle elle a trouve du courage au decolage et atterissage)
Adios America del Sur, Hello NEW ZEALAND!